le cheval de troie de l'état islamique dans le scandale des migrants


l’ECIPS avait envoyé une Alerte Exodus à tous les états membres de l’UE plusieurs mois avant le début de la crise des migrants qui a commencé dans l’Union Européenne début juillet 2015. La volonté des forces de sécurité d’ignorer l’Alerte Exodus a soulevé beaucoup de questions au sein des associations parlementaires concernant les loupés et l’absence de priorité accordée à l’Alerte Exodus émise par le CENTRE EUROPÉEN POUR LA POLITIQUE DE L’INFORMATION ET DE LA SÉCURITÉ (ECIPS).

De récentes informations du contre-espionnage suggèrent que l’Etat Islamique a utilisé l’occasion de la migration des réfugié et aurait pu être à l’origine de certaines de ces migrations depuis le début. 

Des ROHUM (Renseignements d’origine humaine – en anglais HUMINT) suggèrent fortement que de nombreux migrants ne sont pas du tout des migrants, mais plutôt des recrues entraînées de l’Etat Islamique faisant maintenant partie du cheval de Troie de l’E.I. Se pourrait-il que l’histoire se répète dans ce cas particulier comme il y a 3200 ans ?

La question a été posée récemment : «Pourquoi seulement maintenant ?» Eh bien, la réponse est simple et claire. L’Etat Islamique devait attendre que les conditions climatiques changent afin de forcer les réfugiés au-delà de leur point de contrôle. Si cette hypothèse se vérifie, cela serait une indication claire que l’Etat Islamique poursuit une stratégie évoluée du renseignement comme l’avaient annoncé des experts du contre-terrorisme aussi bien en Europe qu’aux Etats-Unis. Alors que certains politiciens commencent seulement à se réveiller, d’autres sont encore profondément endormis. Il est évident que ce n’est pas une menace que peuvent traiter des âmes sensibles, et cela exige une restructuration complète des politiques de sécurité européennes. Il reste à voir si cela va se faire ou non.

Le président de l’ECIPS, Ricardo Baretzky, a déclaré que cette menace est largement sous-estimée et le fait qu’il s’agisse de ce qu’il a appelé des «DÉPLACEMENTS INCONTRÔLÉS DE MIGRANTS» pose un problème certain et confirmé à l’Union Européenne et ses citoyens dans leur ensemble d’une échelle sans précédent, et il a demandé à tous les dirigeants gouvernementaux de prendre garde à ce que l’Europe ne se transforme pas en une deuxième Syrie en devant lutter contre le contrôle de son territoire par l’Etat Islamique. Le Président a affirmé que tous les membres de l’Union Européenne devraient discuter sans tarder avec l’ECIPS pour trouver une solution immédiate qui soit objective et conforme aux valeurs européennes de tous les citoyens européens.

Plusieurs dirigeants ont approuvé cette déclaration, mais il semble qu’il y en ait peu qui comprennent l’importance de ces mots d’avertissement. Les renseignements sur les médias ont confirmé récemment que près de 4.000 militants de l’Etat Islamique auraient pu traverser la frontière au cours des dernières semaines, mais une analyse approfondie indique que leur nombre pourrait être trois fois supérieur. Nous devrions nous poser la question :«Quels dommages pourrait infliger une armée de 1.000 militants bien coordonnés en une nuit ?»

Une des principales choses auxquelles nous devrions réfléchir est que si un migrant ou un réfugié n’était préoccupé que par sa sécurité, pourquoi ne pas franchir la frontière la plus proche où il serait en sécurité au lieu de mener des milliers de migrants illégaux vers une même destination comme l’Allemagne. Après tout, que faites-vous lorsque 800.000 personnes ne parlent pas votre langue et ne comprennent pas votre culture ? Ne serait-il pas plus logique que les migrants se dirigent vers des territoires sûrs ayant une culture qui leur est familière. Il est dans la nature des choses que se pose non seulement le risque d’une menace extérieure mais également celui du rejet par la société de l’intégration dans une telle culture nouvelle. Ce qui est alarmant est que ces réfugiés rejettent souvent la nourriture et l’eau qui leur sont fournies pendant leur voyage vers l’Allemagne. Cela ne devrait pas passer inaperçu et pourtant peu nombreux sont ceux qui notent l’importance de ce genre de comportement !

Les ROSO (Renseignements de source ouverte – en anglais OSINT) et les publications des médias sociaux suggèrent fortement et indiquent clairement qu’il ne s’agit pas du tout d’une crise migratoire et que seuls 20% des migrants pourraient être en grande difficulté. Plus de 70% sont des hommes alors qu’il n’y a que 5% de femmes et d’enfants.On pourrait argumenter et dire que ce sont malgré tout des migrants, cependant un migrant ou un réfugié aurait toujours des papiers d’identité sur lui dans la plupart des cas alors que dans le cas présent nombreux sont ceux qui n’ont pas de papiers. Les données de la Seconde Guerre Mondiale indiquent fortement que ce serait exact étant donné que beaucoup de ceux qui avaient fui l’Europe étaient effectivement porteurs de papiers d’identité en fuyant l’holocauste. Comme il n’existe pas de bases de données officielles pour vérifier les migrants actuels et que rares sont ceux qui ont des papiers d’identité et qui racontent leur histoire, la délivrance aveugle de pièces d’identité pour résider temporairement dans l’Union Européenne contrevient à plusieurs traités et protocoles de sécurité de l’Union Européenne.

Ceci augmente énormément le risque sécuritaire de l’Union Européenne dans son ensemble, et on pourrait se demander s’il ne faudrait pas abolir définitivement les frontières étant donné que la plupart de la population légitime est dans l’obligation de produire leurs documents d’identité en passant la frontière. L’ironie est que toute personne voyageant d’Europe vers des pays du Moyen-Orient, y compris la Syrie, ne passera jamais la frontière sans présenter un passeport en règle. On devrait se poser la question quant aux mobiles de ceux qui ont créé cette conception erronée en admettant qu’il ne s’agissait que de faire entrer des réfugiés. Le but des Nations Unies est précisément de s’occuper de ce genre de sujets alors que maintenant elles se contentent de rester assises sur leurs bancs en observant le risque sécuritaire croissant qui menace l’Union Européenne.

Les polices des frontières sont confrontées à l’effondrement systématique de nombreuses décennies de travail assidu à maintenir l’intégrité des frontières de l’Europe, mais la question reste posée de qui va être tenu pour responsable de l’ouverture des portes au cheval de Troie qui va déployer ses ailes de destruction massive au sein du paisible territoire de l’UE qui promet liberté et justice pour tous.

Pourrions-nous comparer ce genre de massacre aux récentes petites attaques terroristes en France dont les dirigeants avaient assuré qu’elles ne pouvaient pas se produire ? La conclusion générale est que la compassion ne devrait pas être confondue avec le radicalisme en ces jours de l’avènement d’une nouvelle ère.


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